J'ai vu l'œil qui a vu,
le lavoir qui dégurgite son écume blanche,
le tracteur qui trace son ornière
et porte son bois vers sa chaumière.
j'ai vu l'œil qui a vu,
la souche habillée de lamelles rosées,
un promeneur applaudir des deux souliers,
des visages épanouis faisant la pose.
J'ai vu l'œil qui a vu,
un bouddha en pierre qui médite,
des bogues de châtaignes vides qui soupirent,
une ramasseuse de champignons joyeuse qui s'exhibe.
j'ai vu l'œil qui a vu,
la rose épanouie qui protège son petit,
la capucine, le lézard, la porte bleue.
Tout ce que j'ai vu et revu c'est grâce à l'œil de nos photographes
à qui , en cœur, nous disons merci.
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GRIBOUILLE (lundi, 12 octobre 2015 08:34)
J'ai vu l'œil qui a vu,
le lavoir qui dégurgite son écume blanche,
le tracteur qui trace son ornière
et porte son bois vers sa chaumière.
j'ai vu l'œil qui a vu,
la souche habillée de lamelles rosées,
un promeneur applaudir des deux souliers,
des visages épanouis faisant la pose.
J'ai vu l'œil qui a vu,
un bouddha en pierre qui médite,
des bogues de châtaignes vides qui soupirent,
une ramasseuse de champignons joyeuse qui s'exhibe.
j'ai vu l'œil qui a vu,
la rose épanouie qui protège son petit,
la capucine, le lézard, la porte bleue.
Tout ce que j'ai vu et revu c'est grâce à l'œil de nos photographes
à qui , en cœur, nous disons merci.